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Kopf Bild Hupperts 155 250
Franz LISZT
Les préludes
Poème symphonique No 3, S 97
Orchestre Municipal d'Utrecht
Paul HUPPERTS, MMS 73
MMS 73 2 Recto
Franz Liszt compose ce poème symphonique entre 1845 et 1853, il est donné en première audition le 23 février 1854 au théâtre de la Cour de Weimar sous la direction du compositeur. C'est certainement le plus populaire des poèmes symphonique de Liszt. C'est lui qui "inventa" d'ailleurs cette expression "Symphonische Dichtung - Poème symphonique" pour décrire ces oeuvres musicales dont les idées étaient inspirées par d'autres modes d'expression artistique, tels la poésie ou la peinture, ou encore par des scènes ou des personnages tirés de l'histoire ou de la légende.

"[...] La peinture de scènes n'était pas, en musique, chose nouvelle, pour preuve la Symphonie Pastorale de Beethoven et la Symphonie fantastique de Berlioz, voire même “Les Quatre Saisons” de Vivaldi, et certains compositeurs avaient écrit ce qu'ils qualifiaient d'“ouvertures”, pièces s'inspirant d'oeuvres littéraires spécifiques, comme Ein Sommernachtstraum (Le Songe d'une nuit d'été, 1826) et Meeresstille und glückliche Fahrt (Mer calme et heureux voyage, 1828) de Mendelssohn. De nombreuses pièces pour piano de Liszt des années 1830 sont inspirées par la littérature, par une atmosphère ou un environnement, mais le terme de “poème symphonique” référait spécifiquement à une oeuvre en un mouvement pour orchestre, relevant de ce qu'on appelle fréquemment “la musique à programme”. Si Berlioz eut recours à une technique narrative (par exemple dans la “Marche au supplice” de la Symphonie fantastique qui décrit les événements culminant avec la décapitation du héros), Liszt choisit dans ses oeuvres d'illustrer une atmosphère générale ou un tempérament plutôt que des détails spécifiques.
[...]
Le plus populaire des poèmes symphoniques de Liszt, Les Préludes, commença son existence sous le titre des Quatre Élémens, mise en musique pour choeur de quatre poèmes de Joseph Autran (1813 –1877). Ces mises en musique ne furent jamais publiées et l'oeuvre orchestrale que Liszt développa par la suite, si elle renfermait certaines pages originales des pièces pour choeur, s'inspirait plutôt de la quinzième des Méditations poétiques d'Alphonse de Lamartine (1790 –1869), une oeuvre de la même veine que les poèmes d'Autran. La composition de Liszt fut créée en 1854 et publiée en tant que No 3 des douze poèmes symphoniques.
La préface de la partition orchestrale résume ainsi les idées de Lamartine:
'Notre vie est-elle autre chose qu'une série de Préludes à ce chant inconnu dont la mort entonne la première et solennelle note? Amour, douleur, paix, victoire – tels sont ces préludes' [...]" des citations extraites du texte rédigé en 2005 pour Chandos par Jonathan Summers, dans une traduction de Nicole Valenci, livret publié dans l'intégrale des poèmes symphoniques, BBC Philharmonic, Gianandrea Noseda.
Pour plus de détails voir par exemple la page en anglais - très détaillée - de Wikipedia.
La partition de l'oeuvre peut être téléchargée  sur cette page de l'IMSLP.
MMS 73 1 Recto
Dans l'enregistrement que je vous en propose sur cette page, Paul HUPPERTS dirige l'Orchestre Municipal d'Utrecht ("Utrechts Symfonie Orkest", un orchestre fondé en 1894, renommé en 1946 comme "Utrechts Stedelijk Orkest": ce nom disparaît en 1985, l'orchestre fusionnant avec le "Amsterdams Philharmonisch Orkest" et le "Nederlands Kamerorkest" pour former le nouveau "Nederlands Philharmonisch Orkest", ceci pour des raisons purement économiques). Cet enregistrement paraît pour la première fois sur la deuxième face du disque Concert Hall / Musical Masterspiece Society MMS 73 vers le milieu des années 1950, étant mentionné dans le 3e supplément du WERM (sur la première face: 'Tod und Verklärung' de Richard Strauss, le même orchestre étant dirigé par Ignace Neumark).

L'un des deux disques utilisés pour cette restauration vient de la collection de Stefan KRAMER, que je remercie pour sa générosité!
Voici donc...

Franz Liszt, Les préludes, Poème symphonique No 3, S 97, Utrecht Symphony Orchestra, Paul Hupperts, MMS 73 (Andante – Andante maestoso – L'istesso tempo – Allegro ma non troppo – Allegro tempestoso – Un poco più moderato – Allegretto pastorale – Poco a poco più di moto – Allegro marziale animato – Andante maestoso 16:04)
que je vous offre et que vous pouvez obtenir en...
pour un téléchargement libre, depuis mon site, ou en...
pour un téléchargement sur Filefactory.

MMS-73 E4KL 7476, MMS 73  PT2-N2 -> WAV -> léger à moyen DeClick avec ClickRepair, des réparations manuelles  -> FLAC

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(*) et 1 fichier PDF dans 1 fichier ZIP

(*)1 fichier CUE pour les fichiers décomprimés en WAV et 1 fichier CUE pour les fichiers comprimés FLAC, si votre logiciel peut utiliser directement les fichiers FLAC.
MMS 73 Label 2 Fond 65c2fc