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Ernest Ansermet, © Boris Lipnitzki / Roger-Viollet, utilisation autorisée dans le cadre de l’illustration de sites internet personnels à vocation non commerciale (Technique: Négatif au gélatino-bromure d’argent - Format 6X6), Numéro d'image: 71964-55, Numéro d'inventaire: LIP-2003-016, cliquer pour voir l'original
Ernest Ansermet, © Boris Lipnitzki / Roger-Viollet, utilisation autorisée dans le cadre de l’illustration de sites internet personnels à vocation non commerciale (Technique: Négatif au gélatino-bromure d’argent - Format 6X6), Numéro d'image: 71965-9, Numéro d'inventaire: LIP-2003-029, cliquer pour voir l'original
Ernest ANSERMET, portrait cité du film de Jean-Jacques Lagrange pouvant être visioné sur la page http://www.notrehistoire.ch/medias/67914 du site de NotreHistoire.ch
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extrait Gazette de Lausanne (6 mai 1964 en page 3), clicquer pour une vue agrandie
extrait Journal de Genève (8 mai 1964, page 13), clicquer pour une vue agrandie
Kopf Bild Ansermet 155 250
Ludwig van BEETHOVEN
Coriolan, op. 62
ouverture symphonique en do mineur
pour la tragédie Coriolan
Orchestre de la Suisse Romande, Ernest ANSERMET
a) octobre 1958, Victoria-Hall, Genève (Decca)
b) 6 mai 1964, Victoria Hall, Genève (concert)
Ludwig van Beethoven compose cette ouverture au début de l'année 1807. Il l'a dédie à Heinrich Joseph von Collin: ce dernier avait écrit en 1802 une tragédie intitulée Coriolanus, inspirée de la biographie de Plutarque. Selon certaines sources Beethoven et Collin voulaient initialement faire une musique de scène pour accompagner l'introduction de la pièce, selon d'autres sources Beethoven avait dès le début l'intention d'écrire une oeuvre sur ce thème, mais pas comme musique de scène. C'est en tous cas comme ouverture symphonique que l'oeuvre fut donnée en première audition à Vienne, en mars 1807 dans un concert privé du Prince Franz Joseph von Lobkowitz - la 4e symphonie et le 4e concerto pour piano de Beethoven furent également donnés en première audition lors de ce concert (Ref.: Michael Steinberg. "The Symphony: a listeners guide". p. 19-24. Oxford University Press, 1995).
L'argument de la tragédie elle-même, cité d'après cette page en français de Wikipedia:

"[...]La pièce de Collin s'inspire de l'histoire de Caïus Marcius, général romain qui avait pris le nom de Coriolan pour avoir pris la cité volsque de Corioles en 493 av. J.-C.. Exilé de Rome après s'être violemment querellé avec les tribuns de la plèbe nouvellement institués, Coriolan fait allégeance aux Volsques qu’il avait autrefois combattus. Il les persuade de rompre le traité passé avec Rome et de lever une armée d’invasion. Lorsque les troupes volsques menées par Coriolan menacent Rome, les matrones romaines, dont son épouse Volumnia et sa mère Veturia, sont envoyées pour le dissuader d’attaquer. Voyant sa mère, son épouse et leurs enfants se jeter à ses pieds, Coriolan fléchit, ramène ses troupes aux frontières du territoire romain, et se suicide. C'est de cette partie de l'histoire que Beethoven s'est inspiré pour écrire son ouverture. [...]"

Une courte description de l'ouverture, d'après la même page de Wikipedia:

"[...] Deux thèmes principaux émaillent l'ouverture: le premier, véhément et puissant, en do mineur, représente la volonté farouche et la détermination de Coriolan devant les murs de Rome. Le second, apaisé et chaleureux, en mi bémol majeur, symbolise les prières des femmes. Les deux thèmes se succèdent dans l'exposition et la réexposition, donnant l'effet de l'hésitation. Après un bref rappel du premier thème, la coda conclut l'oeuvre par une dissolution du premier thème, évocation intense du sacrifice héroïque de Coriolan.[...]".

Pour une analyse plus détaillée de l'oeuvre voir par exemple cette page du site www.resmusica.com, une analyse de Laurent Marty.
La partition de l'oeuvre peut être téléchargée sur cette page de l'IMSLP, dans diverses éditions.


C'est avec cette oeuvre que s'ouvraient deux concerts Beethoven donnés le mardi 5 mai 1964 au Théâtre de Beaulieu (dans le cadre du Festival de Lausanne) et le mercredi 6 mai 1964 dans le Victoria-Hall de Genève (un concert extraordinaire hors abonnement), l'Orchestre de la Suisse Romande étant dirigé par son chef fondateur, Ernest ANSERMET. Après l'ouverture de Coriolan suivait le concerto pour violon, op. 61, avec Zino Francescatti en soliste, et - après la pause - la Symphonie No 7. Le concert du mercredi fut à l'époque retransmis en direct sur l'émetteur de Sottens (voir par exemple le programme radio de la Gazette de Lausanne du 06.05.1964 en 2e page, ou le Journal de Genève du 06.05.1964 en page 13).

À gauche sont reproduits les extraits des compte-rendus parus

a) dans la Gazette de Lausanne (6 mai 1964 en page 3)

Voici donc...

Ludwig van Beethoven, Ouvertüre zu Heinrich Joseph von Collins Trauerspiel Coriolan c-moll, op. 62, Orchestre de la Suisse Romande, Ernest Ansermet, novembre 1958, Victoria Hall, Genève, Decca  (Allegro con brio 07:03)
que vous pouvez obtenir en...
pour un téléchargement libre, depuis mon site

Radiodiffusion, enregistrement Decca

1 fichier FLAC

Ludwig van Beethoven, Ouvertüre zu Heinrich Joseph von Collins Trauerspiel Coriolan c-moll, op. 62, Orchestre de la Suisse Romande, Ernest Ansermet, 06.05.1964, Victoria Hall, Genève (Allegro con brio 08:00)
que vous pouvez obtenir en...
pour un téléchargement libre, depuis mon site

Radiodiffusion (Archives RSRRTS) -> WAV -> FLAC

1 fichier FLAC, 2 fichiers CUE (*) et 1 fichier PDF dans 1 fichier ZIP

(*) 1 fichier CUE pour les fichiers décomprimés en WAV et 1 fichier CUE pour les fichiers comprimés FLAC, si votre logiciel peut utiliser directement les fichiers FLAC.

Compte-rendu de concert extrait de la Gazette de Lausanne, 6 mai 1964 en page 3
Gazette de Lausanne 06 05 1964 page 3
Compte-rendu de concert extrait de la Gazette de Lausanne, 6 mai 1964 en page 3
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Compte-rendu de concert extrait du Journal de Genève, 8 mai 1964, page 13
Journal de Geneve 08 05 1964 Page 13
Compte-rendu de concert extrait du Journal de Genève, 8 mai 1964, page 13
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